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Les chevaliers du Tstevin
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Les chevaliers du Tstevin
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Availability:
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Publisher:
FeniXX réédition numérique
DRM:
Watermark
Publication Year:
1983
ISBN-13: 9782307470120
Description:
Lucien Boitouzet né le 9 mars 1915. Études secondaires à l'École Saint-Joseph de Dijon et au collège Désiré-Nisard de Châtillon-sur-Seine. Après deux années de droit et notariat à l'Université de Dijon, il abandonne les études juridiques pour le journalisme et débute en 1935 au quotidien de Dijon, « le Bien Public ». Obtient en 1936 des interviews du Président Motta à Berne et du Chancelier Schuschnigg à Vienne. Mobilisé sur la ligne Maginot pendant la guerre de 39-40, il fait quinze mois de captivité. Il retrouve en 1945 les fonctions de rédacteur en chef d'un hebdomadaire « la Semaine », puis entre au nouveau quotidien régional « Les Dépêches ».

Il collabore au « Monde » et à « France-Soir » avant d'être engagé en mars 1953 comme envoyé spécial permanent du « Figaro ».

Membre associé de l'Académie des Sciences, Arts et Belles Lettres de Dijon, il est officier des Palmes académiques et chevalier de l'Ordre national du Mérite.

En lui remettant les insignes de Chevalier dans l'Ordre national du Mérite, le 4 octobre 1965, M. le recteur Marcel Bouchard lui déclarait : « Vous vous êtes acquis l'estime de tous ceux qui savent apprécier le vrai mérite... Vous avez toujours manifesté de la probité dans votre jugement et le respect du lecteur... »

Ayant quitté le « Figaro » en 1980 à son départ en retraite, Lucien Boitouzet a poursuivi son activité journalistique comme directeur de « Pays de Bourgogne » et rédacteur en chef de « Tastevin en Main ».

De tous les témoignages de satisfaction qu'il a reçus au cours de sa carrière, l'un de ceux qu'il relit avec le plus d'émotion est celui du grand historien et philosophe bourguignon Gaston Roupnel qui lui écrivait le 23 avril 1946, peu de temps avant sa mort :

« Cher Monsieur Boitouzet,

Je viens de lire l'admirable article que vous avez bien voulu faire sur moi. J'en ai été profondément touché. Jamais on n'a parlé de moi et de ma modeste oeuvre avec un tel accent de sympathie, avec tant de persuasive et chaleureuse bienveillance. C'est bien peu de vous dire simplement que je vous remercie. En réalité vous êtes venu donner le réconfort à un vieil homme qui sent s'organiser autour de lui ce laborieux et systématique silence que la presse parisienne sait si bien élever autour de ceux qui ont l'essentiel démérite littéraire de n'être pas de Paris. Mais votre article met le baume nécessaire sur des blessures qui ne furent saignantes que parce que nul ne sut y mettre la main amicale.

Cher Monsieur Boitouzet, je ne saurai jamais oublier ces pages si pleines de bonté, si riches de sympathie. J'en vivrai mieux ces années de triste vieillesse. Merci encore ! Et bien à vous de toute ma gratitude la plus complète.

Gaston Roupnel. »
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