Couronné de larmes
Daniel-François Maillard
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Aussi disponible en format PDF
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Aussi disponible en format PDF
Éditeur:
FeniXX réédition numérique
FeniXX réédition numérique
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1958
1958
ISBN-13:
9782307392125
Description:
Sans doute Daniel-François Maillard connaît-il la célèbre phrase de M. Georges Duhamel dans « Possession du Monde » qui fit bien involontairement créer à Paul Souday le mot "dolorisme" dont, quelques années plus tard, Julien Teppe devait faire la fortune en édifiant à partir de la douleur créatrice tout un "stimulus" de l'œuvre d'art.
« Souffrir d'abord, écrivait Georges Duhamel, c'est sûrement une des grandeurs de notre race, et nous n'aimons vraiment nos biens que pour ce qu'ils nous ont coûté de larmes, de sueur et de sang. Souffrons donc avec cette joie frémissante qui étreint la femme à l'heure où elle lance dans le monde un être neuf... Toute la souffrance est stérile, désespérée et sans rachat, qui ne sert qu'à nourrir la haine. Qu'elle est merveilleuse quand elle engendre la connaissance, c'est-à-dire la possession, c'est-à-dire l'amour. »
Daniel-François Maillard, dans la suite de poèmes qui composent « Couronné de Larmes » et où le "cœur" n'est pas "petite sentimentalité", mais "esprit sensibilisé", selon une définition du regretté Louis Mandin, demande à une ferveur désespérée, bien que puisée le plus souvent dans la douleur et l'amertume, la force de vibrer, de s'exalter, de se sentir vivre intensément.
« Souffrir d'abord, écrivait Georges Duhamel, c'est sûrement une des grandeurs de notre race, et nous n'aimons vraiment nos biens que pour ce qu'ils nous ont coûté de larmes, de sueur et de sang. Souffrons donc avec cette joie frémissante qui étreint la femme à l'heure où elle lance dans le monde un être neuf... Toute la souffrance est stérile, désespérée et sans rachat, qui ne sert qu'à nourrir la haine. Qu'elle est merveilleuse quand elle engendre la connaissance, c'est-à-dire la possession, c'est-à-dire l'amour. »
Daniel-François Maillard, dans la suite de poèmes qui composent « Couronné de Larmes » et où le "cœur" n'est pas "petite sentimentalité", mais "esprit sensibilisé", selon une définition du regretté Louis Mandin, demande à une ferveur désespérée, bien que puisée le plus souvent dans la douleur et l'amertume, la force de vibrer, de s'exalter, de se sentir vivre intensément.
Aperçu du livre