The Lion's Cub - Le lionceau
Margaret MacMillan, Edward MacDonald
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Publisher:
University of Ottawa Press
University of Ottawa Press
DRM:
Open - No Protection
Open - No Protection
Publication Year:
2019
2019
ISBN-13:
9780776631349
Description:
<p>In <i>The Lion’s Cub</i>, her 2018 Symons Medal address, eminent Canadian historian Margaret MacMillan examines the impact of the First War World on Canadian Confederation. With her characteristic flair and gift for telling detail, Margaret MacMillan shows the paradox of Canada’s experience in the First World War. On the one hand, the Great War, as it was originally known, brought Canada closer to nationhood and gave many Canadians a greater sense of identity. On the other hand<b>,</b> the Great War<b> </b>also marked a time when Confederation was shaken and very nearly came apart. Its divisive impact continued to be felt throughout the twentieth century. And can still be felt today, in Canada’s national political life, and in the relationship between Quebec and the rest of the country.</p>
<p>Yet Canada survived, and continues to survive. And Margaret MacMillan concludes that this is the great strength of Confederation. <i>The Lion’s Cub</i> suggests Canada’s endurance should be recognized for the achievement it is. In a world where political boundaries are often as artificial as Canada’s, the ability of our “improbable country” to survive and prosper may be an example of hope for a wider world.</p>
<p>The Symons Medal is one of Canada’s most prestigious honours. It is presented annually by the Confederation Centre of the Arts to honour persons who have made an exceptional contribution to Canadian life.</p>
<p>Bilingual Edition</p>
<p>-</p>
<p>Historienne et écrivaine canadienne de réputation internationale, Margaret MacMmillan aborde la Première Guerre mondiale et ses répercussions paradoxales sur le Canada dans son discours prononcé en 2018 lors de la remise de la médaille Symons et intitulé <i>Le lionceau</i>. Avec son style caractéristique et son talent inné de narratrice, Margaret MacMillan a révélé le paradoxe saisissant de l’expérience canadienne durant la Première Guerre mondiale. En effet, si la Grande Guerre, comme on l’appelait à l’époque, a sensibilisé le Canada à l’idée de nation et a conféré à bon nombre de Canadiens un sentiment accru d’identité, elle a aussi symbolisé une époque où la Confédération canadienne fut fortement ébranlée et faillit même se désagréger. De plus, les risques de fracture résultant de la Grande Guerre perdurèrent durant tout le XX<sup>e</sup> siècle. Et aujourd’hui encore, ses effets continuent de se faire sentir dans la vie politique nationale canadienne, particulièrement dans les relations entre le Québec et le reste du pays.</p>
<p>Pourtant, le Canada a survécu et continue de survivre. Selon Margaret MacMillan, c’est d’ailleurs la plus grande force de la Confédération canadienne. Dans son ouvrage intitulé <i>Le lionceau</i>, elle suggère que l’endurance et la résilience du Canada devraient être impérativement reconnues à leur juste valeur. Dans un monde où les frontières politiques sont souvent aussi artificielles que celles du Canada, la capacité à survivre et à prospérer de notre « pays improbable » est un brillant exemple d’espoir pour un monde plus vaste et plus divers.</p>
<p>La médaille Symons est une des récompenses honorifiques les plus prestigieuses du Canada. Chaque année, elle est remise par le Centre des arts de la Confédération à une personne distinguée en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle à la vie canadienne.</p>
<p><i>Édition bilingue</i></p><p>Historienne et
écrivaine canadienne de réputation internationale, Margaret MacMmillan aborde
la Première Guerre mondiale et ses répercussions paradoxales sur le Canada dans
son discours prononcé en 2018 lors de la remise de la médaille Symons et
intitulé <i>Le lionceau</i>. Avec son style
caractéristique et son talent inné de narratrice, Margaret MacMillan a révélé
le paradoxe saisissant de l’expérience canadienne durant la Première Guerre
mondiale. En effet, si la Grande Guerre, comme on l’appelait à l’époque, a
sensibilisé le Canada à l’idée de nation et a conféré à bon nombre de Canadiens
un sentiment accru d’identité, elle a aussi symbolisé une époque où la
Confédération canadienne fut fortement ébranlée et faillit même se désagréger.
De plus, les risques de fracture résultant de la Grande Guerre perdurèrent
durant tout le XX<sup>e</sup> siècle. Et aujourd’hui encore, ses effets
continuent de se faire sentir dans la vie politique nationale canadienne,
particulièrement dans les relations entre le Québec et le reste du pays.</p>
<p>Pourtant, le Canada a
survécu et continue de survivre. Selon Margaret MacMillan, c’est d’ailleurs la
plus grande force de la Confédération canadienne. Dans son ouvrage intitulé <i>Le lionceau</i>, elle suggère que
l’endurance et la résilience du Canada devraient être impérativement reconnues
à leur juste valeur. Dans un monde où les frontières politiques sont souvent
aussi artificielles que celles du Canada, la capacité à survivre et à prospérer
de notre « pays improbable » est un brillant exemple d’espoir pour un
monde plus vaste et plus divers.</p>
<p>La médaille Symons est une des récompenses honorifiques
les plus prestigieuses du Canada. Chaque année, elle est remise par le Centre
des arts de la Confédération à une personne distinguée en reconnaissance de sa
contribution exceptionnelle à la vie canadienne.</p>
<p><i>Édition bilingue</i></p>
<p><i>-</i></p>
<p>In <i>The
Lion’s Cub</i>, her 2018 Symons Medal address, eminent Canadian historian
Margaret MacMillan examines the impact of the First War World on Canadian
Confederation. With her characteristic flair and gift for telling detail,
Margaret MacMillan shows the paradox of Canada’s experience in the First World War. On the one hand, the
Great War, as it was originally known,
brought Canada closer to nationhood and gave many Canadians a greater sense of identity. On the other hand, the Great War also marked a time when Confederation was shaken and very nearly
came apart. Its divisive impact continued to be felt throughout the twentieth
century. And can still be felt today, in Canada’s national political life, and
in the relationship between
Quebec and the rest of the country.</p>
<p>Yet Canada
survived, and continues to survive. And Margaret MacMillan concludes that this is the great strength of
Confederation. <i>The Lion’s Cub</i> suggests Canada’s endurance
should be recognized for the achievement it is. In a world where political
boundaries are often as artificial as Canada’s, the ability of our “improbable
country” to survive and prosper may be an example of hope for a wider world.</p>
<p>The
Symons Medal is one of Canada’s most prestigious honours. It is presented
annually by the Confederation Centre of the Arts to honour persons who have
made an exceptional contribution to Canadian life.</p>
<p><i>Bilingual Edition</i></p>
<p>Yet Canada survived, and continues to survive. And Margaret MacMillan concludes that this is the great strength of Confederation. <i>The Lion’s Cub</i> suggests Canada’s endurance should be recognized for the achievement it is. In a world where political boundaries are often as artificial as Canada’s, the ability of our “improbable country” to survive and prosper may be an example of hope for a wider world.</p>
<p>The Symons Medal is one of Canada’s most prestigious honours. It is presented annually by the Confederation Centre of the Arts to honour persons who have made an exceptional contribution to Canadian life.</p>
<p>Bilingual Edition</p>
<p>-</p>
<p>Historienne et écrivaine canadienne de réputation internationale, Margaret MacMmillan aborde la Première Guerre mondiale et ses répercussions paradoxales sur le Canada dans son discours prononcé en 2018 lors de la remise de la médaille Symons et intitulé <i>Le lionceau</i>. Avec son style caractéristique et son talent inné de narratrice, Margaret MacMillan a révélé le paradoxe saisissant de l’expérience canadienne durant la Première Guerre mondiale. En effet, si la Grande Guerre, comme on l’appelait à l’époque, a sensibilisé le Canada à l’idée de nation et a conféré à bon nombre de Canadiens un sentiment accru d’identité, elle a aussi symbolisé une époque où la Confédération canadienne fut fortement ébranlée et faillit même se désagréger. De plus, les risques de fracture résultant de la Grande Guerre perdurèrent durant tout le XX<sup>e</sup> siècle. Et aujourd’hui encore, ses effets continuent de se faire sentir dans la vie politique nationale canadienne, particulièrement dans les relations entre le Québec et le reste du pays.</p>
<p>Pourtant, le Canada a survécu et continue de survivre. Selon Margaret MacMillan, c’est d’ailleurs la plus grande force de la Confédération canadienne. Dans son ouvrage intitulé <i>Le lionceau</i>, elle suggère que l’endurance et la résilience du Canada devraient être impérativement reconnues à leur juste valeur. Dans un monde où les frontières politiques sont souvent aussi artificielles que celles du Canada, la capacité à survivre et à prospérer de notre « pays improbable » est un brillant exemple d’espoir pour un monde plus vaste et plus divers.</p>
<p>La médaille Symons est une des récompenses honorifiques les plus prestigieuses du Canada. Chaque année, elle est remise par le Centre des arts de la Confédération à une personne distinguée en reconnaissance de sa contribution exceptionnelle à la vie canadienne.</p>
<p><i>Édition bilingue</i></p><p>Historienne et
écrivaine canadienne de réputation internationale, Margaret MacMmillan aborde
la Première Guerre mondiale et ses répercussions paradoxales sur le Canada dans
son discours prononcé en 2018 lors de la remise de la médaille Symons et
intitulé <i>Le lionceau</i>. Avec son style
caractéristique et son talent inné de narratrice, Margaret MacMillan a révélé
le paradoxe saisissant de l’expérience canadienne durant la Première Guerre
mondiale. En effet, si la Grande Guerre, comme on l’appelait à l’époque, a
sensibilisé le Canada à l’idée de nation et a conféré à bon nombre de Canadiens
un sentiment accru d’identité, elle a aussi symbolisé une époque où la
Confédération canadienne fut fortement ébranlée et faillit même se désagréger.
De plus, les risques de fracture résultant de la Grande Guerre perdurèrent
durant tout le XX<sup>e</sup> siècle. Et aujourd’hui encore, ses effets
continuent de se faire sentir dans la vie politique nationale canadienne,
particulièrement dans les relations entre le Québec et le reste du pays.</p>
<p>Pourtant, le Canada a
survécu et continue de survivre. Selon Margaret MacMillan, c’est d’ailleurs la
plus grande force de la Confédération canadienne. Dans son ouvrage intitulé <i>Le lionceau</i>, elle suggère que
l’endurance et la résilience du Canada devraient être impérativement reconnues
à leur juste valeur. Dans un monde où les frontières politiques sont souvent
aussi artificielles que celles du Canada, la capacité à survivre et à prospérer
de notre « pays improbable » est un brillant exemple d’espoir pour un
monde plus vaste et plus divers.</p>
<p>La médaille Symons est une des récompenses honorifiques
les plus prestigieuses du Canada. Chaque année, elle est remise par le Centre
des arts de la Confédération à une personne distinguée en reconnaissance de sa
contribution exceptionnelle à la vie canadienne.</p>
<p><i>Édition bilingue</i></p>
<p><i>-</i></p>
<p>In <i>The
Lion’s Cub</i>, her 2018 Symons Medal address, eminent Canadian historian
Margaret MacMillan examines the impact of the First War World on Canadian
Confederation. With her characteristic flair and gift for telling detail,
Margaret MacMillan shows the paradox of Canada’s experience in the First World War. On the one hand, the
Great War, as it was originally known,
brought Canada closer to nationhood and gave many Canadians a greater sense of identity. On the other hand, the Great War also marked a time when Confederation was shaken and very nearly
came apart. Its divisive impact continued to be felt throughout the twentieth
century. And can still be felt today, in Canada’s national political life, and
in the relationship between
Quebec and the rest of the country.</p>
<p>Yet Canada
survived, and continues to survive. And Margaret MacMillan concludes that this is the great strength of
Confederation. <i>The Lion’s Cub</i> suggests Canada’s endurance
should be recognized for the achievement it is. In a world where political
boundaries are often as artificial as Canada’s, the ability of our “improbable
country” to survive and prosper may be an example of hope for a wider world.</p>
<p>The
Symons Medal is one of Canada’s most prestigious honours. It is presented
annually by the Confederation Centre of the Arts to honour persons who have
made an exceptional contribution to Canadian life.</p>
<p><i>Bilingual Edition</i></p>
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