California dollar
Olivier Chazoule
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Publisher:
FeniXX réédition numérique
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DRM:
Watermark
Watermark
Publication Year:
1984
1984
ISBN-13:
9782402470575
Description:
L'histoire :
Ettore Spandolini, Tom Corson, Stéphanie, Nathalie, le Crabe, le Serpent, et une foule d'autres personnages. Pour eux, tous les moyens sont bons. Et tous les coups aussi. Pour faire des affaires. Pour gagner de l'argent. Mais, surtout, pour empêcher les autres d'y arriver.
Plus qu'un thriller. Plus qu'un roman financier, policier ou d'espionnage, « California Dollar » est une critique haletante et sans appel d'un monde féroce, dans lequel on s'impose en multipliant les coups bas et les manœuvres tordues. Personne n'est épargné, ni les honorables banquiers, ni les intermédiaires douteux, et pas plus les gens faussement respectables que les franches crapules…
Dans une Silicon Valley en profonde crise, quelques-uns se régalent de l'agonie de tous ceux qui ont cru - trop vite et trop fort - à une nouvelle ruée vers l'or électronique.
La Californie est vaste, et elle a de beaux jours devant elle pour qui n'a pas de scrupules. Et pourtant, c'est aussi là que se nouent de très profondes amitiés, et des histoires d'amour à rebondissements.
C'est ce que raconte « California Dollar ».
Le style :
À première vue, il a de quoi surprendre. Et il surprend. Des phrases très courtes. Disposées en colonnes. Des séquences à la place des chapitres. Un récit qui rebondit sans cesse. Ça surprend beaucoup, parce que c'est totalement nouveau.
Chazoule définit très bien lui-même ce qu'il écrit, quand il dit : « C'est de l'anti-littérature. Je n'écris pas pour être jugé par des professionnels du jugement. Pas pour être comparé à une norme. Pas pour m'inscrire dans un courant. La littérature, c'est l'adoration de ce qui est reconnu par les bigots de l'art. On peut aimer Shakespeare ou non. Flaubert ou non. Victor Hugo ou non. Mais dire qu'on aime la littérature en général, ne signifie rien. Ou plutôt, ça signifie qu'on se fait un devoir d'aimer ce qu'on vous a ordonné d'aimer, et ça, c'est très grave. J'écris comme j'ai envie de le faire, pour raconter des histoires à un public, qui ne s'embarrasse pas d'un fatras de prétentions pseudo-littéraires, mais qui a envie de se distraire, de s'amuser, et de réfléchir sur des choses plus graves. Et pour cela, il n'y a qu'un seul vrai moyen : La simplicité ».
Ajoutons que les romans d'Olivier Chazoule sont écrits au second degré, avec beaucoup d'humour et de poésie, et que les thèmes abordés sont un prétexte pour décrire, avec un sens aigu du détail, la psychologie de ses personnages.
Ettore Spandolini, Tom Corson, Stéphanie, Nathalie, le Crabe, le Serpent, et une foule d'autres personnages. Pour eux, tous les moyens sont bons. Et tous les coups aussi. Pour faire des affaires. Pour gagner de l'argent. Mais, surtout, pour empêcher les autres d'y arriver.
Plus qu'un thriller. Plus qu'un roman financier, policier ou d'espionnage, « California Dollar » est une critique haletante et sans appel d'un monde féroce, dans lequel on s'impose en multipliant les coups bas et les manœuvres tordues. Personne n'est épargné, ni les honorables banquiers, ni les intermédiaires douteux, et pas plus les gens faussement respectables que les franches crapules…
Dans une Silicon Valley en profonde crise, quelques-uns se régalent de l'agonie de tous ceux qui ont cru - trop vite et trop fort - à une nouvelle ruée vers l'or électronique.
La Californie est vaste, et elle a de beaux jours devant elle pour qui n'a pas de scrupules. Et pourtant, c'est aussi là que se nouent de très profondes amitiés, et des histoires d'amour à rebondissements.
C'est ce que raconte « California Dollar ».
Le style :
À première vue, il a de quoi surprendre. Et il surprend. Des phrases très courtes. Disposées en colonnes. Des séquences à la place des chapitres. Un récit qui rebondit sans cesse. Ça surprend beaucoup, parce que c'est totalement nouveau.
Chazoule définit très bien lui-même ce qu'il écrit, quand il dit : « C'est de l'anti-littérature. Je n'écris pas pour être jugé par des professionnels du jugement. Pas pour être comparé à une norme. Pas pour m'inscrire dans un courant. La littérature, c'est l'adoration de ce qui est reconnu par les bigots de l'art. On peut aimer Shakespeare ou non. Flaubert ou non. Victor Hugo ou non. Mais dire qu'on aime la littérature en général, ne signifie rien. Ou plutôt, ça signifie qu'on se fait un devoir d'aimer ce qu'on vous a ordonné d'aimer, et ça, c'est très grave. J'écris comme j'ai envie de le faire, pour raconter des histoires à un public, qui ne s'embarrasse pas d'un fatras de prétentions pseudo-littéraires, mais qui a envie de se distraire, de s'amuser, et de réfléchir sur des choses plus graves. Et pour cela, il n'y a qu'un seul vrai moyen : La simplicité ».
Ajoutons que les romans d'Olivier Chazoule sont écrits au second degré, avec beaucoup d'humour et de poésie, et que les thèmes abordés sont un prétexte pour décrire, avec un sens aigu du détail, la psychologie de ses personnages.
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