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Si les rues de Saint Nabor m'étaient contées
Lucien Henrion
Disponibilité:
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Éditeur:
FeniXX réédition numérique
FeniXX réédition numérique
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2000
2000
ISBN-13:
9782307464310
Description:
Lucien HENRION est né à la gare de Saint Avold, de parents de vieille souche lorraine.
Il fréquente l'école primaire de sa ville, le collège épiscopal Saint Augustin de Bitche puis du fait de la guerre, son père étant muté à Thionville, le lycée de cette ville et enfin la faculté de droit de Nancy. En 1943, il est incorporé de force par l'ignoble occupant allemand pour s'en évader, la même année et attérrir au sinistre camp de Tambow dont il peut s'extraire en juillet 1944 pour rejoindre, le cœur joyeux son Armée en Algérie et s'y engager volontairement pour la durée de la guerre qu'il terminera sergent.
Démobilisé, il sera reçu, en 1946, en tant que rédacteur puis attaché à la Préfecture de Metz, secrétaire en chef de la Sous-préfecture de Boulay pour rejoindre, en 1960, le poste de secrétaire général de sa bonne ville de Saint Avold. Licencié en Droit, il intègrera la Magistrature judiciaire y servant comme juge d'instance à Sarreguemines et à Forbach puis en tant que vice-président à Metz et Conseiller à la Cour d'appel de Metz d'où il sera détaché quelques temps en qualité de président du Tribunal aux Armées des FFA siégeant à Landau.
Parallèlement il continuera à cultiver son Armée dans les Réserves y terminant colonel, commandant un régiment de réserve, le 79e RI et exerçant les fonctions de Conseiller réserve régional.
Fort actif, il présidera différentes sociétés dont il deviendra président d'honneur. Ainsi des sous-officiers et officiers de réserve, des anciens de la Légion Étrangère, de la psalette grégorienne et de la Société d'Histoire et d'Archéologie locale.
Il est aussi membre titulaire de l'Académie Nationale de Metz. Il est par ailleurs, l'auteur de plusieurs ouvrages sur Saint Avold.
Après avoir bien servi il continue, à la retraite, à la faire connaître par la plume.
Son passé lui vaut d'être Chevalier de la Légion d'Honneur et Commandeur de l'Ordre National du Mérite. Il s'honore aussi de la médaille des Évadés (décoration qui sied bien à celui qui n'a pas voulu subir l'occupant). S'y ajoute le grade d'Officier des Palmes Académiques.
Une vie bien remplie.
Il fréquente l'école primaire de sa ville, le collège épiscopal Saint Augustin de Bitche puis du fait de la guerre, son père étant muté à Thionville, le lycée de cette ville et enfin la faculté de droit de Nancy. En 1943, il est incorporé de force par l'ignoble occupant allemand pour s'en évader, la même année et attérrir au sinistre camp de Tambow dont il peut s'extraire en juillet 1944 pour rejoindre, le cœur joyeux son Armée en Algérie et s'y engager volontairement pour la durée de la guerre qu'il terminera sergent.
Démobilisé, il sera reçu, en 1946, en tant que rédacteur puis attaché à la Préfecture de Metz, secrétaire en chef de la Sous-préfecture de Boulay pour rejoindre, en 1960, le poste de secrétaire général de sa bonne ville de Saint Avold. Licencié en Droit, il intègrera la Magistrature judiciaire y servant comme juge d'instance à Sarreguemines et à Forbach puis en tant que vice-président à Metz et Conseiller à la Cour d'appel de Metz d'où il sera détaché quelques temps en qualité de président du Tribunal aux Armées des FFA siégeant à Landau.
Parallèlement il continuera à cultiver son Armée dans les Réserves y terminant colonel, commandant un régiment de réserve, le 79e RI et exerçant les fonctions de Conseiller réserve régional.
Fort actif, il présidera différentes sociétés dont il deviendra président d'honneur. Ainsi des sous-officiers et officiers de réserve, des anciens de la Légion Étrangère, de la psalette grégorienne et de la Société d'Histoire et d'Archéologie locale.
Il est aussi membre titulaire de l'Académie Nationale de Metz. Il est par ailleurs, l'auteur de plusieurs ouvrages sur Saint Avold.
Après avoir bien servi il continue, à la retraite, à la faire connaître par la plume.
Son passé lui vaut d'être Chevalier de la Légion d'Honneur et Commandeur de l'Ordre National du Mérite. Il s'honore aussi de la médaille des Évadés (décoration qui sied bien à celui qui n'a pas voulu subir l'occupant). S'y ajoute le grade d'Officier des Palmes Académiques.
Une vie bien remplie.
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