L’Escalier et autres amours de secours
Martin Vézina
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
Éditions de la Pleine Lune
Éditions de la Pleine Lune
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2010
2010
ISBN-13:
9782890242890
Description:
Dans les nouvelles de ce recueil, les thèmes abordés sont classiques et universels : l’amour et la mort, dont les pas complexes s’entremêlent dans un tango déchirant dansé sur la piste souvent trop étroite du quotidien.
Les rencontres, qu’elles soient persistantes ou furtives, sont toujours décisives. Car les personnages, aussi différents soient-ils (commis de banque, serveuse, clochard ou écrivain), sont tous à la recherche d’une même chose : eux-mêmes ! Mais il leur faudra bien admettre qu’ils n’y parviendront jamais sans faire un détour par le chemin, souvent inquiétant et déroutant, de l’altérité.
Écrire ou aimer, voilà peut-être deux façons de retrouver une pureté dont la vie veut nous dépouiller en nous tirant du paradis de l’enfance. Il faudrait donc écrire avec le même plaisir et la même obstination que l’enfant met à construire des royaumes imaginaires sur le tapis de sa chambre ; aimer avec la même intensité que l’enfant qui, en s’absorbant dans la vérité inventée de son jeu, échappe à la grisaille d’une réalité qui n’est peut-être pas plus vraie que son jeu, qui n’est peut-être qu’un rêve moins bien réussi. [extrait]
Il y a des livres difficiles à résumer et ce recueil de nouvelles en fait partie. On s’attarde aux phrases profondes et lumineuses en écoutant Lester Young, Duke Ellington ou Bessie Smith, qui les accompagnent, on les relit pour bien s’en imprégner. [...] Expérience de pensée, expérience de vie, plaisir des mots lancés comme des bouées ou comme des perches, L’Escalier et autres amours de secours, c’est l’enfance enfin retrouvée. Suzanne Giguère, Le Devoir.
Les rencontres, qu’elles soient persistantes ou furtives, sont toujours décisives. Car les personnages, aussi différents soient-ils (commis de banque, serveuse, clochard ou écrivain), sont tous à la recherche d’une même chose : eux-mêmes ! Mais il leur faudra bien admettre qu’ils n’y parviendront jamais sans faire un détour par le chemin, souvent inquiétant et déroutant, de l’altérité.
Écrire ou aimer, voilà peut-être deux façons de retrouver une pureté dont la vie veut nous dépouiller en nous tirant du paradis de l’enfance. Il faudrait donc écrire avec le même plaisir et la même obstination que l’enfant met à construire des royaumes imaginaires sur le tapis de sa chambre ; aimer avec la même intensité que l’enfant qui, en s’absorbant dans la vérité inventée de son jeu, échappe à la grisaille d’une réalité qui n’est peut-être pas plus vraie que son jeu, qui n’est peut-être qu’un rêve moins bien réussi. [extrait]
Il y a des livres difficiles à résumer et ce recueil de nouvelles en fait partie. On s’attarde aux phrases profondes et lumineuses en écoutant Lester Young, Duke Ellington ou Bessie Smith, qui les accompagnent, on les relit pour bien s’en imprégner. [...] Expérience de pensée, expérience de vie, plaisir des mots lancés comme des bouées ou comme des perches, L’Escalier et autres amours de secours, c’est l’enfance enfin retrouvée. Suzanne Giguère, Le Devoir.
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