J'ai 72 ans maman
André Provencher
Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
Art Global
Art Global
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2022
2022
ISBN-13:
9782923196299
Description:
André Provencher a fait le choix à 72 ans de devenir entrepreneur, défiant ainsi tous les préceptes du milieu des affaires. Prise dans le contexte de la pandémie et de l’isolement pernicieux des vieux, cette décision tire son origine des réflexions de l’auteur sur les rapports de cause à effet entre l’âge et la valorisation sociale et humaine.
En repassant sur son propre vécu et surtout les passages de sa vie professionnelle, André Provencher observe dans J’ai 72 ans maman que ceux-ci ont peu suivi la courbe normale de l’âge. Salarié à 12 ans, drop-out à 17 ans, directeur général à 28 ans, étudiant à 33 ans, haut dirigeant à 45 ans, père à 47 ans, intrapreneur à 51 ans, marathonien à 65 ans, jeune-vieux à 72 ans, sa ligne du temps est particulière. De fait, l’âge a peu d’emprise sur lui. Son chemin s’est tracé avec l’influence de multiples mentors qui lui ont permis d’acquérir son lot de compétences managériales et stratégiques. « Je n’aimais pas l’école », confie-t-il, pour expliquer le recours à ses modèles dans le cheminement d’une carrière bien remplie et plutôt fructueuse dans le domaine des médias. Il a d’abord trouvé l’exemple de l’effort, du courage et de la détermination chez ses parents, au sein d’une famille de 10 enfants, dont il était le deuxième. À l’adolescence, il a senti qu’il avait un peu trahi les valeurs familiales reçues en quittant l’école.
Pour cette raison, l’auteur ne se réclame pas de la race des self made men. La présence forte et sans cesse renouvelée de mentors dans son entourage professionnel explique davantage ses progrès et sa survie face aux inévitables crises de doute et de confiance en soi. Les questionnements ont ressurgi avec force à la faveur de la pandémie, qui a contribué à accélérer le profilage des générations et l’aigreur à l’endroit des personnes aînées. « Suis-je devenu trop vieux pour mériter encore une place honorable dans la vie active? », se demande-t-il alors, marqué par l’air pandémique. L’auteur répond pour lui-même dans son ouvrage, tout en désirant susciter une prise de conscience plus large des dangers sociaux associés à l’âgisme dans tous les aspects du vivre ensemble.
En repassant sur son propre vécu et surtout les passages de sa vie professionnelle, André Provencher observe dans J’ai 72 ans maman que ceux-ci ont peu suivi la courbe normale de l’âge. Salarié à 12 ans, drop-out à 17 ans, directeur général à 28 ans, étudiant à 33 ans, haut dirigeant à 45 ans, père à 47 ans, intrapreneur à 51 ans, marathonien à 65 ans, jeune-vieux à 72 ans, sa ligne du temps est particulière. De fait, l’âge a peu d’emprise sur lui. Son chemin s’est tracé avec l’influence de multiples mentors qui lui ont permis d’acquérir son lot de compétences managériales et stratégiques. « Je n’aimais pas l’école », confie-t-il, pour expliquer le recours à ses modèles dans le cheminement d’une carrière bien remplie et plutôt fructueuse dans le domaine des médias. Il a d’abord trouvé l’exemple de l’effort, du courage et de la détermination chez ses parents, au sein d’une famille de 10 enfants, dont il était le deuxième. À l’adolescence, il a senti qu’il avait un peu trahi les valeurs familiales reçues en quittant l’école.
Pour cette raison, l’auteur ne se réclame pas de la race des self made men. La présence forte et sans cesse renouvelée de mentors dans son entourage professionnel explique davantage ses progrès et sa survie face aux inévitables crises de doute et de confiance en soi. Les questionnements ont ressurgi avec force à la faveur de la pandémie, qui a contribué à accélérer le profilage des générations et l’aigreur à l’endroit des personnes aînées. « Suis-je devenu trop vieux pour mériter encore une place honorable dans la vie active? », se demande-t-il alors, marqué par l’air pandémique. L’auteur répond pour lui-même dans son ouvrage, tout en désirant susciter une prise de conscience plus large des dangers sociaux associés à l’âgisme dans tous les aspects du vivre ensemble.
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