Carnets de guerre 1914-1918 du Médecin Major Jules Beyne
Ouvrage collectif de la famille de Jules Beyne
Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
Les Éditions du Net
Les Éditions du Net
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2012
2012
ISBN-13:
9782312003559
Description:
L’auteur : le médecin général Jules Beyne (1880-1968) est connu comme le fondateur de la médecine aéronautique en France : grâce à lui l’expertise du personnel navigant, la recherche et l’enseignement ont été développés entre les deux guerres mondiales. Mais rares sont ceux qui ont connaissance des épreuves qu’il a partagées, en tant que médecin de son régiment, avec les braves du 283e régiment d’infanterie pendant 1501 jours de guerre.
Ce sont les notes, brutes, dans l’état où il les a écrites au jour le jour, que nous présentons. Ces notes dont il disait « En dehors des souvenirs qu’elles fixent ou qu’elles évoquent pour moi, [elles] n’ont d’autre valeur que leur sincérité dans le moment où elles furent écrites ». Cependant, à travers ses réflexions, ses inquiétudes, ses doutes, ses interrogations, on comprend comment un acteur du drame a vécu et analysé le conflit.
Il raconte la retraite éperdue des survivants de son régiment décimé dans le combat d’Eton en août 1914. Il dit avec un humour féroce l’absurdité de certaines missions « destinées à conquérir les plumes blanches » de certains grands chefs, exprime l’ennui et la mélancolie des longs jours d’attente. Il nous emmène dans les profondeurs de son poste de secours du secteur de Fleury près de Verdun, où des hommes hallucinés, sortis des peintures noires de Goya, suffoquent dans l’angoisse.
Des photographies que Jules Beyne nous avait transmises illustrent ce récit complété par des cartes des champs d’opération successifs et des notes explicatives.
Ce sont les notes, brutes, dans l’état où il les a écrites au jour le jour, que nous présentons. Ces notes dont il disait « En dehors des souvenirs qu’elles fixent ou qu’elles évoquent pour moi, [elles] n’ont d’autre valeur que leur sincérité dans le moment où elles furent écrites ». Cependant, à travers ses réflexions, ses inquiétudes, ses doutes, ses interrogations, on comprend comment un acteur du drame a vécu et analysé le conflit.
Il raconte la retraite éperdue des survivants de son régiment décimé dans le combat d’Eton en août 1914. Il dit avec un humour féroce l’absurdité de certaines missions « destinées à conquérir les plumes blanches » de certains grands chefs, exprime l’ennui et la mélancolie des longs jours d’attente. Il nous emmène dans les profondeurs de son poste de secours du secteur de Fleury près de Verdun, où des hommes hallucinés, sortis des peintures noires de Goya, suffoquent dans l’angoisse.
Des photographies que Jules Beyne nous avait transmises illustrent ce récit complété par des cartes des champs d’opération successifs et des notes explicatives.
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