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Ces Allemands qui ont défié Hitler
Gérard Sandoz
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
Pygmalion (réédition numérique FeniXX)
Pygmalion (réédition numérique FeniXX)
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1979
1979
ISBN-13:
9782403045970
Description:
Ce livre n'a qu'une seule ambition : démontrer que des dizaines de milliers d'Allemands ont combattu avec acharnement le régime sanguinaire érigé par Adolf Hitler. Ce fait, mal perçu ou ignoré, mérite d'autant plus d'être porté à la connaissance du lecteur français, que l'on a généralement tendance à rendre responsables « les » Allemands, sans exception, de la démarche meurtrière du Troisième Reich.
Il faut donc prendre acte, enfin, de cette vérité incontestable : des ouvriers et des bourgeois, des socialistes, des syndicalistes et des communistes, des protestants et des catholiques, des officiers et de nombreux jeunes ont, tout au long du règne hitlérien, risqué leur vie en témoignant d'une « autre Allemagne ». Des milliers d'Allemands ont été exécutés pour avoir participé à des actes de « haute trahison ». D'autres, bien plus nombreux encore, ont souffert et sont morts dans les prisons et camps de concentration du régime nazi. Lorsque les Déportés français sont arrivés dans ces camps, ils y ont rencontré des Allemands. Et pour cause : ils avaient été créés pour y « héberger » les adversaires allemands de la « peste brune ».
On ne parlera pas, pour autant, d'un « mouvement » de résistance en Allemagne hitlérienne. De toute manière, un régime totalitaire, qui force les citoyens à se soumettre à une discipline de fer, au point de les priver de la moindre parcelle d'autonomie, rend impossible la constitution d'un « mouvement de masse ». C'est pourquoi ces Allemands étaient exemplaires. Ils méritent, ces inconnus ou méconnus, de ne pas rester confinés dans l'anonymat.
Il faut donc prendre acte, enfin, de cette vérité incontestable : des ouvriers et des bourgeois, des socialistes, des syndicalistes et des communistes, des protestants et des catholiques, des officiers et de nombreux jeunes ont, tout au long du règne hitlérien, risqué leur vie en témoignant d'une « autre Allemagne ». Des milliers d'Allemands ont été exécutés pour avoir participé à des actes de « haute trahison ». D'autres, bien plus nombreux encore, ont souffert et sont morts dans les prisons et camps de concentration du régime nazi. Lorsque les Déportés français sont arrivés dans ces camps, ils y ont rencontré des Allemands. Et pour cause : ils avaient été créés pour y « héberger » les adversaires allemands de la « peste brune ».
On ne parlera pas, pour autant, d'un « mouvement » de résistance en Allemagne hitlérienne. De toute manière, un régime totalitaire, qui force les citoyens à se soumettre à une discipline de fer, au point de les priver de la moindre parcelle d'autonomie, rend impossible la constitution d'un « mouvement de masse ». C'est pourquoi ces Allemands étaient exemplaires. Ils méritent, ces inconnus ou méconnus, de ne pas rester confinés dans l'anonymat.
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