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Les étendards du roi
Adolfo Costa du Rels
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
(Plon) réédition numérique FeniXX
(Plon) réédition numérique FeniXX
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1955
1955
ISBN-13:
9782259291774
Description:
Prix Rivarol 1953
Livre magnifique, qui n'est qu'un long dialogue entre l'auteur (ambassadeur de Bolivie à Paris et grand écrivain de langue française) et son fils, lequel, dès les premiers jours de son adolescence, avait décidé de servir la France et qui, en effet, la servit au point de sacrifier sa jeune vie pour elle.
Francis de MIOMANDRE. - Les Nouvelles littéraires.
Les Croisés de la Haute Mer est, à la lettre, le récit d'un envoûtement idéal et la protestation d'un amour indéfectible envers la France. Il est permis de rapprocher la figure d'Ernest Psichari et celle de son cadet. Tous deux se croient une obligation morale. L'un, par les obscures dénonciations de l'hérédité, part du rachat. L'autre se dit, avec une fermeté plus exclusive encore, que l'admiration inclut le devoir de servir.
Jacques de LACRETELLE. - Le Figaro.
La littérature est ici dépassée et transcendée. M. Costa du Rels, écrivain dont le recours direct à notre langue est un hommage flatteur pour elle, nous révèle, en ces pages, des nuances de sentiments qui vaudront à ce père l'attention reconnaissante en même temps que la sympathie émue de beaucoup de parents français.
Louis CHAIGNE. - Courrier Français.
Dans l'ordre de l'événement historique, il semble qu'ils ne soient jamais arrivés, ces croisés qui n'ont même pas abordé le champ de bataille. A la vérité, ils jouaient déjà une autre partie que celle qu'ils avaient perdue d'avance. Certains mots qu'ils ont écrits ou prononcés appartiennent déjà à cette vie d'où leur présence ne cesse plus de nous être communiquée.
André ROUSSEAUX. - Le Figaro littéraire.
Livre magnifique, qui n'est qu'un long dialogue entre l'auteur (ambassadeur de Bolivie à Paris et grand écrivain de langue française) et son fils, lequel, dès les premiers jours de son adolescence, avait décidé de servir la France et qui, en effet, la servit au point de sacrifier sa jeune vie pour elle.
Francis de MIOMANDRE. - Les Nouvelles littéraires.
Les Croisés de la Haute Mer est, à la lettre, le récit d'un envoûtement idéal et la protestation d'un amour indéfectible envers la France. Il est permis de rapprocher la figure d'Ernest Psichari et celle de son cadet. Tous deux se croient une obligation morale. L'un, par les obscures dénonciations de l'hérédité, part du rachat. L'autre se dit, avec une fermeté plus exclusive encore, que l'admiration inclut le devoir de servir.
Jacques de LACRETELLE. - Le Figaro.
La littérature est ici dépassée et transcendée. M. Costa du Rels, écrivain dont le recours direct à notre langue est un hommage flatteur pour elle, nous révèle, en ces pages, des nuances de sentiments qui vaudront à ce père l'attention reconnaissante en même temps que la sympathie émue de beaucoup de parents français.
Louis CHAIGNE. - Courrier Français.
Dans l'ordre de l'événement historique, il semble qu'ils ne soient jamais arrivés, ces croisés qui n'ont même pas abordé le champ de bataille. A la vérité, ils jouaient déjà une autre partie que celle qu'ils avaient perdue d'avance. Certains mots qu'ils ont écrits ou prononcés appartiennent déjà à cette vie d'où leur présence ne cesse plus de nous être communiquée.
André ROUSSEAUX. - Le Figaro littéraire.
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