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Le convoi de la République
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Le convoi de la République
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Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Aussi disponible en format PDF
Éditeur:
FeniXX réédition numérique
Protection:
Filigrane
Année de parution:
1970
ISBN-13: 9782307212263
Description:
Dans l’arrivée à Brest d’un grand convoi de farine, expédié par les États-Unis d’Amérique à la Première République française, Robespierre plaçait — en ce printemps 1794 — son seul espoir d’éviter la famine à Paris. Encore fallait-il que les équipages des vaisseaux brestois forcent le blocus anglais devant la grande rade, malgré l’absence de la plupart de leurs officiers — emprisonnés ou bannis — pour que le convoi y parvienne. Ils le firent avec un courage admirable et une maladresse rare. Et si l’on inventa de toutes pièces, pour les besoins de la cause, la légende du « Vengeur » coulant après une héroïque défense, d’autres navires et d’autres commandants méritèrent les titres de gloire attribués au premier. C’est dans cette atmosphère, que Jean Clouzot a placé l’histoire de Virginie Chavagne, arrivée à Brest par un convoi précédent de sa Saint-Domingue natale en révolte, et du lieutenant d’artillerie Octave Bréaud qui, jusqu’à sa sortie de l’école, ne connaissait la mer « que de réputation ». Scénariste renommé, à l’imagination féconde, mais historien scrupuleux — et par surcroît brestois — Jean Clouzot a inventé ses deux héros. En revanche, presque tous ses autres personnages ont existé : de l’amiral Villaret de Joyeuse au Vengeur, au guillotineur et aux membres du Tribunal de Salut Public ; la plupart des événements sont historiquement exacts. Fantasque Virginie ! Seule rescapée de toute sa famille de la révolte des Noirs à Saint-Domingue, elle a couru mille dangers en mer et à son arrivée à Brest. Et la voici promise au couperet de la guillotine, tandis que son cher lieutenant, Octave Bréaud, appareille sur le « Vengeur » pour livrer bataille aux Anglais et sauver « Le convoi de la répûblique ». Dans l’ancienne chapelle de la Marine — devenue Temple de la Concorde, au fronton duquel on lit ces mots « Justice du peuple » — des groupes compacts et nettement distincts assistent au procès comme à un spectacle. D’une part les Brestois, d’autre part les Parisiens. Les occupés, les occupants. Quelle histoire ! Ce serait dommage de la dévoiler davantage. Lisez « Le convoi de la république ». Avec Octave et Virginie, deux êtres jeunes et attachants, vous vivrez intensément cette période révolutionnaire, où Brest — que la Montagne avait décidé de « saigner et compresser » — se serrait la ceinture pour que Paris ait du pain.
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