Commandos de chasse gendarmerie : Algérie 1959-1962
Jean-François Allès
Disponibilité:
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Éditeur:
(Service historique de la Défense) réédition numérique FeniXX
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Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1999
1999
ISBN-13:
9782111552791
Description:
En juillet 1959, le Général Challe, qui a mis au point - quelques mois plus tôt - un plan cohérent de lutte contre la rébellion en Algérie, demande à la gendarmerie de participer à l'encadrement des commandos de chasse, unités légères spéciales, essentiellement constituées de Harkis et vouées à traquer les bandes rebelles dans les espaces où elles règnent encore.
Pour les officiers et les sous-officiers - volontaires pour assurer cette mission - l'aventure commence par un stage à Blida, et ultérieurement à Oued-Fodda, où les commandos-parachutistes qui les forment sont surpris par l'enthousiasme et la détermination de ces gendarmes peu orthodoxes.
En quelques semaines, six commandos de gendarmerie baptisés « Partisan », et un détachement héliporté sont constitués et implantés entre Alger et Oran, dans l'Ouarsenis et les massifs côtiers du Dahra et du Zaccar. Accueillies avec un certain scepticisme, ces formations vont devoir faire leurs preuves sous les regards ironiques ou incrédules des militaires des autres armes. Mais gendarmes et Harkis vont constituer un amalgame de qualité, et s'avérer de redoutables coureurs de djebels. Vingt jours par mois sur le terrain, en été comme en hiver, ils livrent - pendant 32 mois - un combat fait d'accrochages, tandis qu'ils perdront 2 officiers, 9 sous-officiers et 23 Harkis.
Quarante ans après, dans un récit sobre et sans concessions, l'auteur qui a commandé « Partisan noir » évoque cette lutte, qui débute lorsque tous les espoirs sont encore permis, et qui s'achève dans l'amertume. Un hommage à une poignée de gendarmes courageux et un témoignage de reconnaissance à ces fidèles Harkis, qui ont bien plus donné à la France qu'elle ne leur a rendu.
Pour les officiers et les sous-officiers - volontaires pour assurer cette mission - l'aventure commence par un stage à Blida, et ultérieurement à Oued-Fodda, où les commandos-parachutistes qui les forment sont surpris par l'enthousiasme et la détermination de ces gendarmes peu orthodoxes.
En quelques semaines, six commandos de gendarmerie baptisés « Partisan », et un détachement héliporté sont constitués et implantés entre Alger et Oran, dans l'Ouarsenis et les massifs côtiers du Dahra et du Zaccar. Accueillies avec un certain scepticisme, ces formations vont devoir faire leurs preuves sous les regards ironiques ou incrédules des militaires des autres armes. Mais gendarmes et Harkis vont constituer un amalgame de qualité, et s'avérer de redoutables coureurs de djebels. Vingt jours par mois sur le terrain, en été comme en hiver, ils livrent - pendant 32 mois - un combat fait d'accrochages, tandis qu'ils perdront 2 officiers, 9 sous-officiers et 23 Harkis.
Quarante ans après, dans un récit sobre et sans concessions, l'auteur qui a commandé « Partisan noir » évoque cette lutte, qui débute lorsque tous les espoirs sont encore permis, et qui s'achève dans l'amertume. Un hommage à une poignée de gendarmes courageux et un témoignage de reconnaissance à ces fidèles Harkis, qui ont bien plus donné à la France qu'elle ne leur a rendu.
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