Les faunes plio-pléistocènes de la basse vallée de l'Omo (Ethiopie)
Michel Beden
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
CNRS Éditions (réédition numérique FeniXX)
CNRS Éditions (réédition numérique FeniXX)
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1986
1986
ISBN-13:
9782271104632
Description:
La description détaillée des Éléphantidés de l'Omo est publiée ici pour la première fois.
Les cinq sous-espèces successives de la lignée des Elephas recki, sont abondamment représentées dans la formation de Shungura. Parmi celles-ci, E. r. brumpti, E. r. shungurensis, et R. r. atavus sont définies sur du matériel de l'Omo. Deux autres lignées, beaucoup plus rares, appartenant au genre Loxodonta, se trouvent aussi à l'Omo, où elles apparaissent sporadiquement : celle de L. adaurora, qui existe dans les formations de Mursi et de Shungura membre E, et celle de L. exoptata, présent à Shungura, membre A, et qui aboutit peut-être à L. atlantica angamensis trouvé à Shungura, membre F.
Toutes ces formes sont longuement décrites, et abondamment figurées, leurs limites de variation - morphologique et biométrique - sont précisées, ce qui permettra au paléontologiste non spécialiste de proboscidiens de les reconnaître sans difficulté majeure, s'il les rencontre sur le terrain.
Les gisements de l'Omo apportent une documentation irremplaçable sur l'anatomie, la systématique, l'évolution, et la phylogénie des Éléphantidés, contribuant à la mise au point d'une biozonation du Plio-Pléistocène d'Afrique orientale, et fournissant d'importantes données sur la paléoécologie de la région pendant cette période.
Les cinq sous-espèces successives de la lignée des Elephas recki, sont abondamment représentées dans la formation de Shungura. Parmi celles-ci, E. r. brumpti, E. r. shungurensis, et R. r. atavus sont définies sur du matériel de l'Omo. Deux autres lignées, beaucoup plus rares, appartenant au genre Loxodonta, se trouvent aussi à l'Omo, où elles apparaissent sporadiquement : celle de L. adaurora, qui existe dans les formations de Mursi et de Shungura membre E, et celle de L. exoptata, présent à Shungura, membre A, et qui aboutit peut-être à L. atlantica angamensis trouvé à Shungura, membre F.
Toutes ces formes sont longuement décrites, et abondamment figurées, leurs limites de variation - morphologique et biométrique - sont précisées, ce qui permettra au paléontologiste non spécialiste de proboscidiens de les reconnaître sans difficulté majeure, s'il les rencontre sur le terrain.
Les gisements de l'Omo apportent une documentation irremplaçable sur l'anatomie, la systématique, l'évolution, et la phylogénie des Éléphantidés, contribuant à la mise au point d'une biozonation du Plio-Pléistocène d'Afrique orientale, et fournissant d'importantes données sur la paléoécologie de la région pendant cette période.
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