Dumont d'Urville : 1790-1842
Jacques Guillon
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
FeniXX réédition numérique
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Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1985
1985
ISBN-13:
9782402622059
Description:
Une rue de Paris, quelques places en province, un lycée à Toulon, un bâtiment de la Marine Nationale portent son nom. Au cimetière Montparnasse un hideux monument rappelle qu'il est mort avec sa famille entière dans un des premiers accidents de chemin de fer, en 1842. C'est tout ce que l'on pouvait connaître de Dumont d'Urville avant que l'amiral Jacques Guillon, le sortant du silence et de l'obscurité, ne nous offre aux Editions France-Empire sa passionnante biographie.
L'histoire de cet homme hors du commun, que la vie n'a pas épargné, qui a fait front en toutes circonstances, qui a servi son pays du règne de Napoléon à celui de Louis-Philippe, est un véritable roman qui fait se souvenir du vieux dicton : « Mon Dieu, veillez sur le marin qui est à terre... celui qui est en mer, il se débrouille. »
Dumont d'Urville ne fut pas seulement un grand marin, un des derniers de la voile, mais, humaniste de formation et naturaliste par goût, il a approché ou approfondi nombre de sciences physiques ou humaines.
Il a été l'un des principaux artisans de l'acquisition de la Vénus de Milo ; avec l'Anglais Dillon il a levé l'incertitude qui pesait sur la disparition de l'expédition de La Pérouse ; il a découvert la Terre Adélie et c'est à lui que la France doit d'être aujourd'hui présente dans l'Antarctique. Dans la grande lignée des explorateurs de la Marine française, il est juste de lui accorder enfin la place qu'il mérite, la première.
L'auteur de cet excellent livre, l'amiral Jacques Guillon, fut, le 19 janvier 1950, un des premiers Français à mettre pied sur la Terre Adélie, cent dix ans après les marins de Dumont d'Urville. Le bâtiment polaire « Commandant-Charcot », armé par la Marine Nationale, dont il était le commandant en second, venait réaffirmer la souveraineté de la France sur ce territoire et y établir, à Port-Martin, la première base des Expéditions Polaires Françaises (missions P.-E. Victor). Celles-ci ont, depuis, développé une base appelée « Dumont d'Urville ».
L'histoire de cet homme hors du commun, que la vie n'a pas épargné, qui a fait front en toutes circonstances, qui a servi son pays du règne de Napoléon à celui de Louis-Philippe, est un véritable roman qui fait se souvenir du vieux dicton : « Mon Dieu, veillez sur le marin qui est à terre... celui qui est en mer, il se débrouille. »
Dumont d'Urville ne fut pas seulement un grand marin, un des derniers de la voile, mais, humaniste de formation et naturaliste par goût, il a approché ou approfondi nombre de sciences physiques ou humaines.
Il a été l'un des principaux artisans de l'acquisition de la Vénus de Milo ; avec l'Anglais Dillon il a levé l'incertitude qui pesait sur la disparition de l'expédition de La Pérouse ; il a découvert la Terre Adélie et c'est à lui que la France doit d'être aujourd'hui présente dans l'Antarctique. Dans la grande lignée des explorateurs de la Marine française, il est juste de lui accorder enfin la place qu'il mérite, la première.
L'auteur de cet excellent livre, l'amiral Jacques Guillon, fut, le 19 janvier 1950, un des premiers Français à mettre pied sur la Terre Adélie, cent dix ans après les marins de Dumont d'Urville. Le bâtiment polaire « Commandant-Charcot », armé par la Marine Nationale, dont il était le commandant en second, venait réaffirmer la souveraineté de la France sur ce territoire et y établir, à Port-Martin, la première base des Expéditions Polaires Françaises (missions P.-E. Victor). Celles-ci ont, depuis, développé une base appelée « Dumont d'Urville ».
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