Si je meurs en Algérie...
Paul Ribeaud
Disponibilité:
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Aussi disponible en format PDF
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Éditeur:
FeniXX réédition numérique
FeniXX réédition numérique
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1956
1956
ISBN-13:
9782307191032
Description:
Si je meurs en Algérie... n’est pas un roman. C’est le récit d’une expérience unique. L’auteur, journaliste professionnel, a passé — clandestinement — plusieurs semaines en Afrique du Nord, parmi les rebelles. Seul au monde, il a partagé leurs repas, suivi leurs marches incessantes à travers les montagnes et les déserts, recueilli leurs confessions, l’expression de leurs doutes ou de leur foi. Aucun journal français, dit de grande information, n’a osé céder à la tentation de publier son reportage, par crainte de déplaire au gouvernement. C’est la justification de ce livre : le refus de la grande presse de publier ce récit authentique. Nulle trace de politique cependant dans ce texte. Mais la narration d’aventures vécues, à l’odeur de sang et de sueur, marquées par la souffrance et une passion : celle de la vérité. Comme dans son précédent livre : « La grande porte », récit d’une randonnée à travers le continent noir, d’Alger au Cap, qu’un éminent journaliste qualifia de « salaire de la peur du reportage », Paul Ribeaud ne rapporte, dans « Si je meurs en Algérie... », que des faits. Il s’agit d’un roman d’aventures vraies (peut-être est-ce la première fois), qui se déroulent dans un décor hallucinant, où s’entremêlent le fanatisme, la barbarie, la raison d’État, la guerre Sainte, la haine, l’amour, le soleil brûlant, la terreur et la mort. La plupart des photographies accompagnant ce texte, lui auraient coûté la vie s’il avait été pris la caméra au poing. Ce n’était pas la première fois que Paul Ribeaud risquait sa vie par passion du journalisme. Depuis huit ans, aux yeux des lecteurs qui ont lu ses reportages dans la grande presse de la capitale et de province, il s’est imposé comme baroudeur, ce qui lui valut d’être appelé « le corsaire du journalisme ». Ne s’était-il pas, à douze ans, enfui du collège pour essayer de rejoindre l’Afrique noire ? À vingt-huit ans, Paul Ribeaud est considéré par ses confrères comme un des « self made man » du journalisme contemporain. De Paul Ribeaud et de son récit « Si je meurs en Algérie ». Joseph Kessel a déclaré : « Un garçon plein de cran, qui dit sur le maquis algérien, où il a vécu, des choses qui valent qu’on les lise. »
Aperçu du livre