Trois histoires de bravoure
Luc Bertrand
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
PUL Diffusion
PUL Diffusion
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2015
2015
ISBN-13:
9782763726892
Description:
Depuis sa création, en 1856, la Croix de Victoria a assurément représenté la décoration militaire la plus rare, mais aussi la plus convoitée de l’Empire britannique, puis du Commonwealth. Décernée dans des cas de bravoure extrême – et maintes fois à titre posthume –, la prestigieuse distinction possède une histoire marquée de prouesses légendaires, mais aussi son lot d’intrigues, qui lui confèrent un caractère presque mythique.
Parmi les 94 Canadiens décorés de la Croix de Victoria, on compte seulement trois francophones, tous originaires du Bas-Saint-Laurent. Le présent ouvrage porte sur ces trois militaires mal connus. En parcourant leur vie, il fait ressortir, d’une part, la problématique propre au Canada français à l’égard de sa participation aux deux guerres mondiales, puis, d’autre part, l’exigence imposée aux militaires francophones d’évoluer dans une hiérarchie à forte prédominance anglophone.
S’inscrivant dans le contexte de ces deux réalités historiques, la reconnaissance ultime des faits d’armes de Joseph Kaeble, de Jean Brillant et de Paul Triquet et la place discrète qui leur est réservée dans notre mémoire collective constituent un paradoxe d’un intérêt d’autant plus marqué au moment où le Canada redécouvre la part qu’il a prise aux grands conflits mondiaux du xxe siècle, dans la foulée des anniversaires visant à les commémorer.
Parmi les 94 Canadiens décorés de la Croix de Victoria, on compte seulement trois francophones, tous originaires du Bas-Saint-Laurent. Le présent ouvrage porte sur ces trois militaires mal connus. En parcourant leur vie, il fait ressortir, d’une part, la problématique propre au Canada français à l’égard de sa participation aux deux guerres mondiales, puis, d’autre part, l’exigence imposée aux militaires francophones d’évoluer dans une hiérarchie à forte prédominance anglophone.
S’inscrivant dans le contexte de ces deux réalités historiques, la reconnaissance ultime des faits d’armes de Joseph Kaeble, de Jean Brillant et de Paul Triquet et la place discrète qui leur est réservée dans notre mémoire collective constituent un paradoxe d’un intérêt d’autant plus marqué au moment où le Canada redécouvre la part qu’il a prise aux grands conflits mondiaux du xxe siècle, dans la foulée des anniversaires visant à les commémorer.
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