Paroles de lumière, poèmes et comptines
Edith Marck
Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
Éditions Amalthée
Éditions Amalthée
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2017
2017
ISBN-13:
9782310033824
Description:
ET SI TU REVENAIS…
Et si tu revenais
De joie j’irais danser dans la rue
J’embrasserais tous les passants, je leur offrirais des fleurs
J’écrirais ton nom sur les façades des maisons
J’irais allumer des feux de joie sur toutes les montagnes
Je marcherais dans le ciel sur une corde tendue
Je tresserais en couronne les rayons du soleil
Et j’en ornerais ton front
J’attacherais des ailes dans ton dos
Et je t’emmènerais écouter la symphonie des étoiles
J’emprisonnerais la lumière dans tes yeux
Et ils éclaireraient l’Univers
J’irais cueillir pour toi la fleur qui pousse sur les glaciers,
Celle dont le calice de feu fait fondre les neiges éternelles
Je planterais sous ta fenêtre un arbre géant où nicheraient
Tous les oiseaux du ciel
Je verserais dans la coupe de tes mains la rosée du matin
Pour qu’elle reflète la beauté du jour commençant
Je te ferais baigner dans un ruisseau de parfum
Je t’habillerais avec l’or et le pourpre du couchant
Je volerais vers toi avec les ailes de l’espoir
Si tu revenais, j’aimerais toute l’humanité,
Je confierais au vent la semence de l’amitié
Pour qu’il la porte aux quatre coins de la terre
Et qu’elle germe dans tous les coeurs.
Poème extrait de Sentiments, page 29.
Et si tu revenais
De joie j’irais danser dans la rue
J’embrasserais tous les passants, je leur offrirais des fleurs
J’écrirais ton nom sur les façades des maisons
J’irais allumer des feux de joie sur toutes les montagnes
Je marcherais dans le ciel sur une corde tendue
Je tresserais en couronne les rayons du soleil
Et j’en ornerais ton front
J’attacherais des ailes dans ton dos
Et je t’emmènerais écouter la symphonie des étoiles
J’emprisonnerais la lumière dans tes yeux
Et ils éclaireraient l’Univers
J’irais cueillir pour toi la fleur qui pousse sur les glaciers,
Celle dont le calice de feu fait fondre les neiges éternelles
Je planterais sous ta fenêtre un arbre géant où nicheraient
Tous les oiseaux du ciel
Je verserais dans la coupe de tes mains la rosée du matin
Pour qu’elle reflète la beauté du jour commençant
Je te ferais baigner dans un ruisseau de parfum
Je t’habillerais avec l’or et le pourpre du couchant
Je volerais vers toi avec les ailes de l’espoir
Si tu revenais, j’aimerais toute l’humanité,
Je confierais au vent la semence de l’amitié
Pour qu’il la porte aux quatre coins de la terre
Et qu’elle germe dans tous les coeurs.
Poème extrait de Sentiments, page 29.
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