Le dernier délire permis suivi de Ouroboros
Jean-Frédéric Messier
Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
Les Herbes Rouges
Les Herbes Rouges
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2017
2017
ISBN-13:
9782894195840
Description:
Ce spectacle surprenant, qui ressort de la production courante, révèle un tempérament théâtral sûr chez Jean-Frédéric Messier, l’auteur et le metteur en scène de cette fraîcheur où Molière sert de base à une construction tout à fait contemporaine de l’émotion théâtrale.
Robert Lévesque, Le Devoir
Il souffle dans Le dernier délire permis un vent de jeunesse qui nous emporte. Vibrant mélange de lyrisme et de modernité, la langue du jeune dramaturge joue entre les racines classiques du drame et sa réalité contemporaine. Entre le réalisme et le badinage, les émotions et les répliques récitées, les comédiens se maintiennent avec talent dans un registre étonnant.
Marie Labrecque, Voir
Cette pièce est une sorte de miracle vivant. Elle fonctionne à une allure, avec une énergie, une frénésie, un bonheur, comme on n’en rencontre pas souvent. Parfois serein et pur, parfois trivial et emporté, le texte fait de chaque acteur une sorte de messager. Ce sont tous les délires de notre société qui s’y reflètent avec ses tares, ses désirs, ses contraintes, ses rêves.
Pierre Henry, La voix du vendredi (France)
Robert Lévesque, Le Devoir
Il souffle dans Le dernier délire permis un vent de jeunesse qui nous emporte. Vibrant mélange de lyrisme et de modernité, la langue du jeune dramaturge joue entre les racines classiques du drame et sa réalité contemporaine. Entre le réalisme et le badinage, les émotions et les répliques récitées, les comédiens se maintiennent avec talent dans un registre étonnant.
Marie Labrecque, Voir
Cette pièce est une sorte de miracle vivant. Elle fonctionne à une allure, avec une énergie, une frénésie, un bonheur, comme on n’en rencontre pas souvent. Parfois serein et pur, parfois trivial et emporté, le texte fait de chaque acteur une sorte de messager. Ce sont tous les délires de notre société qui s’y reflètent avec ses tares, ses désirs, ses contraintes, ses rêves.
Pierre Henry, La voix du vendredi (France)
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