Biographies de personnalités mutualistes : XIX et XXe siècles
Jean Bennet
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
FeniXX réédition numérique
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Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
1986
1986
ISBN-13:
9782402459488
Description:
Jean Bennet, né en 1916, d'un père aveyronnais et d'une mère parisienne, rien ne prédestinait Jean-Paul Bennet à la carrière qu'il a menée à la fédération nationale de la Mutualité française. En effet, une fois bachelier, il ne peut poursuivre ses études, et c'est en 1938 qu'il entre comme employé à la F.N.M.F. à titre provisoire : il y restera, en fait, jusqu'en 1976.
En 1941, il entre au Bureau de la Mutualité sous la direction de Marc Degas et gravit tous les échelons, après avoir obtenu un diplôme d'État à l'École nationale d'organisation économique. Pendant l'Occupation, toujours au côté de M. Degas, il crée la Société coopérative d'entraide sociale de la Mutualité en faveur du personnel, dont il sera secrétaire général, puis président.
Enfin, en 1947, il refuse son reclassement dans les nouveaux organismes de la Sécurité sociale, et préfère rester à la F.N.M.F., où il secondera très activement M. Degas et M. de Lagarde dans la mise en place du régime de prévoyance du personnel de la Mutualité, étendu plus tard au personnel des groupements sociaux à but non lucratif, et qui deviendra la Caisse de prévoyance des organismes mutualistes (C.P.M.). Il organisera, durant toute sa carrière, de nombreuses manifestations mutualistes.
À la retraite depuis 1976, il n'a cessé de s'intéresser aux origines et au développement de la Mutualité en France. Il est, à ce titre, membre de l'association pour l'étude de l'histoire de la Sécurité sociale.
En 1941, il entre au Bureau de la Mutualité sous la direction de Marc Degas et gravit tous les échelons, après avoir obtenu un diplôme d'État à l'École nationale d'organisation économique. Pendant l'Occupation, toujours au côté de M. Degas, il crée la Société coopérative d'entraide sociale de la Mutualité en faveur du personnel, dont il sera secrétaire général, puis président.
Enfin, en 1947, il refuse son reclassement dans les nouveaux organismes de la Sécurité sociale, et préfère rester à la F.N.M.F., où il secondera très activement M. Degas et M. de Lagarde dans la mise en place du régime de prévoyance du personnel de la Mutualité, étendu plus tard au personnel des groupements sociaux à but non lucratif, et qui deviendra la Caisse de prévoyance des organismes mutualistes (C.P.M.). Il organisera, durant toute sa carrière, de nombreuses manifestations mutualistes.
À la retraite depuis 1976, il n'a cessé de s'intéresser aux origines et au développement de la Mutualité en France. Il est, à ce titre, membre de l'association pour l'étude de l'histoire de la Sécurité sociale.
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