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La Rose et le Lotus
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La Rose et le Lotus
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Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Éditeur:
FeniXX réédition numérique
Protection:
Filigrane
Année de parution:
1993
ISBN-13: 9782402369527
Description:
« La rose et le lotus » se veut le récit véridique d'un voyage initiatique. En Andalousie, à l'été 1965, une nuit languide et parfumée d'Orient, la vision de trois adolescents allemands se baignant nus, dévoile au narrateur, dans sa pureté païenne, la beauté dont il ne goûtait jusque-là que les représentations qu'en donnait le sculpteur ou le peintre.

Cette révélation bouleverse l'harmonieux équilibre de son existence.

Un trouble l'envahit. Il comprend que, de sa vie, la Nature - avec ses écarts sauvages et sa fabuleuse prodigalité - est absente, et le désir naît en lui de connaître la vraie vie, dangereuse, passionnée, excessive.

Commence une longue queste, qui conduira le narrateur de Paris à Bénarès, de Venise à l'Himalaya.

Initié par Jorge Donn, le « Danseur » du Ballet du XXe siècle, il découvre la réalité des dieux, qui prennent pour lui le visage et le corps des garçons.

Plus tard, Michel, l'ami fidèle, l'entraînera dans les cités de la nuit, où s'invertissent les valeurs du jour.

En 1971, le port semble en vue lorsque le film de Luchino Visconti, « Mort à Venise », révèle au narrateur Tadzio, l'éphèbe « aux boucles blondes comme le miel ».

S'identifiant au héros de la nouvelle de Thomas Mann, Gustav von Aschenbach, il brûle pour Björn Andresen, parfaite incarnation de l'adolescent à la « beauté quasi divine », d'un amour idéal que favorise l'espacement de leurs rencontres à Stockholm et à Venise.

Un séjour prolongé de Björn à Paris, fait s'évanouir le rêve : à travers le jeune Suédois, le narrateur n'a jamais aimé que la figure poétique de Tadzio.

Au Lido de Venise, la plage d'Alberoni - où Visconti avait tourné la mort d'Aschenbach – devient, le 9 octobre 1976, le lieu mélancolique de l'adieu.

Après s'être laissé prendre aux lacs trompeurs de la Mâya, qui de son voile lui cache la vérité des garçons que le hasard met sur sa route - le brillant Philippe, le ténébreux Eddie - le narrateur revient à sa queste, et devine en Dionysos le dieu de la différence, de la démesure, de l'expérience absolue.

Passent deux années quand, dans la lumière éblouissante de l'été 1982, à Saint-Germain-des-Prés, rue de Rennes, apparaît Laurent, l'éphèbe dionysiaque.
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