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Romarin pour le souvenir
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Romarin pour le souvenir
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Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Aussi disponible en format PDF
Éditeur:
FeniXX réédition numérique
Protection:
Filigrane
Année de parution:
1957
ISBN-13: 9782402197632
Description:
Cette histoire bizarre, où l’on voit un dictateur condamner un homme à mener littéralement une vie de chien, c’est-à-dire à vivre dans une niche, nu, avec un collier au cou, en lapant sa nourriture, jusqu’à ce que cet homme, autrefois compositeur de musique, perde l’usage de la parole, puis celui de la pensée, est contée comme un fait divers. Le bouffon et l’horrible s’y côtoient, narration classique et monologue intérieur se succédant et s’interpénétrant avec autant de nonchalance que d’habilité jusqu’à la conclusion pleine de grandeur tragique. On ne pourra l’oublier. Frédéric (Abel) O’Brady est né, en 1903, à Budapest. Il se fixe en France en 1932, joue au Théâtre des Ambassadeurs, à l’Atelier, à la radio. En 1939, il s’engage à la Légion étrangère. Il y reste un an : démobilisé, il fonde, à Marseille, un curieux théâtre de marionnettes. Mêlé à un groupe de parachutistes britanniques, agents secrets, en 1941, il est arrêté. Sorti de prison, un an plus tard, il se joint à des tournées dans la « zone sud », puis à la Libération, devient secrétaire de rédaction d’un journal illustré à Paris. Pendant deux ans, O’Brady sera journaliste jusqu’au jour où Jean Mercure lui offre un rôle. Puis, Marcel Herrand l’engage aux Mathurins. Entre un film en Italie et une petite excursion en Afrique du Nord, O’Brady fait son petit tour de marionnettes dans les cabarets de la Rive Gauche et écrit son premier livre, « Extérieurs à Venise » que publie la N.R.F. en 1950, et Orson Welles avec qui il joue en anglais au Théâtre Édouard-VII à cette époque-là, se charge d’en écrire la préface. Ce livre est une sorte de manifeste satirico-cruel contre le cinéma en général, et ce thème semble revenir dans « Le Ciel d’en face » (N.R.F., 1954). En 1949, dans la mise en scène de Roger Blin, il crée « La Sonate des Spectres » de Strindberg. Depuis 1951, il ajoute à toutes ses activités celle de compositeur de musique. La R.T.F. a présenté plusieurs œuvres de lui (opéra de chambre, concertino et même un oratorio).
Aperçu du livre
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