Le pluvier kildir
Phil Hall
Disponibilité:
Ebook en format PDF. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
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Éditeur:
Éditions Prise de parole
Éditions Prise de parole
Protection:
Filigrane
Filigrane
Année de parution:
2015
2015
ISBN-13:
9782894237731
Description:
Le pluvier kildir est un oiseau des champs qui, par ses cris et en imitant le vol d’un oiseau blessé, s’acharne à détourner les prédateurs du nid où nichent ses petits. Son nom latin, charadrius vociferus, «?charade vociférante?» décrit le ton de son appel, très puissant.
Phil Hall nous offre dans ces poèmes-essais une rétrospective, en quelque sorte, de sa venue à l’écriture. Un ouvrage décliné en quinze sections, dont «?Devenir poète?», «?La mauvaise séquence?», dans lequel il essaime large et, un peu à l’image du totem qu’il s’est choisi, où il donne autant de pistes qu’il en camoufle, de ce qu’a été sa vie, sa venue à la poésie, de ce qu’il en conçoit, des gens qu’il a côtoyés, aimés, qui l’ont touché.
Un ouvrage riche, foisonnant, intime. Des pages parfois empreintes de naïveté – comme quand il raconte, à l’adolescence, être allé cogner à la porte de Margaret Laurence pour lui remettre une liasse de poèmes de jeunesse, textes dont il est aujourd’hui peu fier?; de tendresse quand il sort de l’oubli ce libraire-éditeur, Art Cravan, qui faisait œuvre de moine à Toronto dans les années quatre-vingt. Pages d’érudition, aussi, quand il interroge ce qu’est la poésie et qu’il met à contribution divers auteurs aimés, et qu’il vilipende ceux qu’il apprécie moins.
Phil Hall nous offre dans ces poèmes-essais une rétrospective, en quelque sorte, de sa venue à l’écriture. Un ouvrage décliné en quinze sections, dont «?Devenir poète?», «?La mauvaise séquence?», dans lequel il essaime large et, un peu à l’image du totem qu’il s’est choisi, où il donne autant de pistes qu’il en camoufle, de ce qu’a été sa vie, sa venue à la poésie, de ce qu’il en conçoit, des gens qu’il a côtoyés, aimés, qui l’ont touché.
Un ouvrage riche, foisonnant, intime. Des pages parfois empreintes de naïveté – comme quand il raconte, à l’adolescence, être allé cogner à la porte de Margaret Laurence pour lui remettre une liasse de poèmes de jeunesse, textes dont il est aujourd’hui peu fier?; de tendresse quand il sort de l’oubli ce libraire-éditeur, Art Cravan, qui faisait œuvre de moine à Toronto dans les années quatre-vingt. Pages d’érudition, aussi, quand il interroge ce qu’est la poésie et qu’il met à contribution divers auteurs aimés, et qu’il vilipende ceux qu’il apprécie moins.
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