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Dis-moi comment tu fais
Dis-moi comment tu fais
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Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Éditeur:
Jourdan
Protection:
Filigrane
Année de parution:
2018
ISBN-13: 9782390093077
Description:
<b>Une série de documents qui, outrepassant l’opprobre, ont abordé ce sujet scandaleux.</b><br><br>Faisant fi de la censure liée à la façon d’assouvir nos fonctions les plus intimes, osons découvrir que faire « ça », activité humaine basique et quotidienne, présente des variantes insoupçonnées. Dans ce but, les voyages de l’auteure nous porteront aux quatre coins du monde, où fleuriront ses aventures en la matière. Bon nombre d’autres sources nourriront aussi le sujet, pour assouvir notre soif de connaissance et pour notre plus grand plaisir : documents historiques savoureux, extraits de littérature délectables et bien d’autres expressions artistiques qui, outrepassant l’opprobre, ont abordé ce sujet scandaleux ; sans oublier les blogs où, anonymat aidant, les auteurs... se lâchent ! Au total, un cocktail sans vulgarité, concocté avec humour, saupoudré de considérations éthiques, féministes et environnementales incontournables.<br><br><b>Grâce à cet ouvrage drôle et jamais vulgaire, découvrez que faire « ça », activité humaine basique et quotidienne, présente des variantes insoupçonnées.</b><br><br>EXTRAIT<br><br>Nombreux sont les petits coins, reliés ou pas à des fosses septiques, où il est contre-indiqué de jeter le papier, au risque d’engorger les canalisations ou de nuire à la fosse. Il est alors obligatoire de s’en débarrasser dans un panier prévu à cet effet, à portée de main. Mais pour qui a l’habitude de voir disparaître le PQ usagé, ces corbeilles à claire-voie où il s’entasse sont répugnantes au plus haut point, elles qui ne cachent rien de leur contenu, qui débordent souvent, et qui puent forcément. Ça ne sent pas la violette, aurait dit mon aïeule. On a du mal à s’y faire mais, le temps aidant, on s’y accoutume. Bien obligé. Sans aller pourtant jusqu’à développer un goût immodéré pour cette rusticité. Après de longs mois de ce régime sud-américain, ma première nuit européenne fut à Lisbonne. L’hôtel, de catégorie moyenne, offrait à mon sens des prestations époustouflantes, summum du luxe et du raffinement. Les draps étaient si blancs, si fins, empesés et doux à la fois ; la salle de bain d’une blancheur de neige. Tout était ivoirin, propre, impeccable, admirable, à ne pas en croire mes yeux.