Coopoly - Logo
Coopoly - Logo
Amelanchier (l')
Amelanchier (l')
Prix membre: 11,95$ (qu'est-ce que c'est?)
Prix régulier: 13,95$
Les membres économisent: 2,00$ (14%)
Ce produit n'est plus en vente.
Disponibilité:
Présentement en commande, expédié dès réception
Éditeur:
Bibliotheque Quebecoise
Année de parution:
2018
ISBN-13: 9782894064047
ISBN-10: 2894064047
Description:
Publié originellement en 1970 aux Éditions du Jour puis aux Éditions Robert Laffont en 1973 et chez VLB en 1977, cette œuvre a connu une nouvelle édition en 1986 dans la collection « Second courant » (avec une préface de Gabrielle Poulin et un texte nouvellement établi par Pierre Cantin, Marie Ferron et Paul Lewis), et a ensuite été reprise telle quelle par Typo en 1992 et en 2014 avec une préface de Jean Marcel. Ce conte, aussi qualifié de récit, de fable, de roman, de poème, de conte moral et d’allégorie, constitue l’un des textes phares de la mythologie ferronnienne. Unanimement et magnifiquement salué par la critique depuis près de cinquante ans, L’amélanchier arrive chez BQ par la grande porte des classiques impérissables qui nous permettent aujourd’hui de consolider notre position d’éditeur principal de l’œuvre du docteur Ferron. Aux trois titres déjà présents dans notre catalogue (Contes, 1993; La charrette, 1994; Escarmouches, 1998) se sont ajoutés ces dernières années Les roses sauvages (2008), Le ciel de Québec (2009), La chaise du maréchal ferrant (2010) et Du fond de mon arrière-cuisine (2015). L’amélanchier, le plus lu de tous les livres de Jacques Ferron, devrait nous permettre de relancer la connaissance de cet immense écrivain auprès des nouvelles cohortes de lecteurs et d’étudiants.

« Je me nomme Tinamer de Portanqueu. » Ainsi commence le récit de l’enfance d’une jeune fille qui apprend de son père, lequel travaille à l’hôpital psychiatrique du Mont-Thabor, que le monde est divisé en deux : le bon côté des choses, celui de l’enfance, de la campagne de Maskinongé, de la nature, et plus particulièrement de cet amélanchier qui dans sa floraison amène le printemps, et le mauvais, où règnent Papa Boss, terrifiante figure de Minotaure, les maladies de la ville, les relations humaines complexes et la perte d’une innocence qui aurait pu rendre le monde acceptable.

Cette œuvre s’inscrit dans la grande lignée des livres de l’enfance perdue ou retrouvée, avec Le Grand Meaulnes, Le Petit Prince, Alice au pays des merveilles, Le Diable au corps… Il constitue à tout le moins au sein du corpus québécois l’une des très belles célébrations de l’enfance et de ce qui vient malheureusement après…