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Le bruit des bottes … La suite
Le bruit des bottes … La suite
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Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Éditeur:
Atria
Protection:
Filigrane
Année de parution:
2014
ISBN-13: 9782918078661
Description:
<div><b>Découvrez sans plus tarder la suite du récit historique&nbsp;<i>Le bruit des bottes</i>&nbsp;!</b></div><div><br></div>"1944, deuxième quinzaine de février, en ce début d'après-midi, les quais de la gare de Dannes - Camiers sont pleins de monde. Jamais, ils n'ont connu pareille foule... Toute cette agitation a débuté au village plusieurs semaines auparavant. En effet, sur une grande affiche, placardée sur un énorme panneau de bois, lui-même cloué sur la façade de la mairie, un grand titre annonçait : ÉVACUATION DE LA POPULATION "<br><br>Le débarquement des troupes alliées est proche. La population est évacuée. William et sa famille vont être accueillis, comme beaucoup d'autres, dans un petit village de la Nièvre, en Bourgogne.<br><div><br></div><div>Après un voyage semé d'embûches, William, âgé de 11 ans, va connaître l'exil, la réorganisation de la vie à Metz le Comte, les premiers émois amoureux, la solidarité, l'inquiétude de ne jamais pouvoir rentrer chez lui...<br><br><b>Avec cette suite du Bruit des bottes, l'auteur, Tony Willer, se souvient de son enfance durant la Seconde Guerre mondiale et nous offre une biographie pleine d'humour et de tendresse.</b><br><br><i>Également disponible : Le bruit des bottes.</i></div><div><i><br></i></div><div>À PROPOS DE L'AUTEUR</div><div><br></div><div>Né en 1933, Tony Willer a publié plusieurs ouvrages, notamment&nbsp;<i>Hugues d'Arquoeuvres dit le mauvais</i>. L'auteur a également choisi de partager avec ses lecteurs ses souvenirs de la Seconde Guerre mondiale avec <i>Le bruit des bottes</i>.</div><div><br></div><div>EXTRAIT</div><div><br></div><div><div>1944, deuxième quinzaine de février, en ce début d’après-midi, les quais de la gare de Dannes - Camiers sont pleins de monde. Jamais, ils n’ont connu pareille foule. Un ancien poilu, rescapé de la der des ders, encore étonné, circule d’un groupe à l’autre en s’exclamant d’une voix éraillée par l’ypérite :</div><div>— Même en 14, quand on est tous partis au casse-pipe, la fleur au fusil, <i>y’avo moins d’monde</i>.</div></div><div><div>Gilbert Moretton dit Bébert les chemins de fer (proche voisin de Maman Marie, notre grand-mère maternelle), qu’on voit, d’habitude, parcourir les quais en poussant une lourde brouette chargée par intermittence, a renoncé aujourd’hui à circuler le long de la voie ferrée. Il a remisé son véhicule professionnel dans un garage aussi étroit qu’une niche à chiens, et il attend que tous ces Dannois montent dans les wagons pour reprendre son activité de fonctionnaire brouetteur.</div></div>