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L'anagramme des sens
L'anagramme des sens
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Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Éditeur:
Avant-Propos
Protection:
Filigrane
Année de parution:
2016
ISBN-13: 9782511040324
Description:
<b>Le temps… celui d’une femme à l’aube de ses 40 ans, qui revient sur sa vie... Serait-elle en passe d'accepter ses imperfections, son corps changeant ?</b><br><br>Ana approche la quarantaine. Inévitablement. Elle le sait, elle n’évitera pas le naufrage. Sur le pont de sa féminité muette parce que trop sage sonne l’urgence. L’urgence de se raconter, de s’affirmer, de devenir femme. De jouir. D’exulter enfin. De se libérer du poids de ce qui est raisonnable et politiquement correct. La femme abandonne les nattes de l’enfance pour poser sur ses lèvres offertes le rouge du désir assumé. Doucement. Au fil des pages, Ana lève le voile sur les coulisses de son être torturé. Elle examine sa vie au scalpel de son introspection. La femme serait-elle en passe d’accepter son imperfection, son corps à géométrie variable, ses fragilités amènes ?<br><br>Un roman à la fois divertissant et empreint de sensibilité qui met à l’honneur la femme dans son épanouissement, dans l’acceptation de son physique et du temps qui passe ainsi que dans ses déboires de tous les jours. Une écriture de qualité qui mélange esthétisme et langage moderne.<br><br><b>Un roman pour les femmes à la découverte de leur féminité</b><br><br>EXTRAIT<br><br>Prélude d’Ane-Juin 2010<br><br>Je n’aime pas les montres. Ni les Cartier ni les Pierre Cardin. Les montres quadrillent le temps. Elles dressent sans culpabilité d’ignobles barrières sur l’épiderme d’une jeunesse qui ne demande qu’à s’attarder. Sur le cadran de leurs arrogances naissent les rides. Je n’aime pas les rides. Elles ponctuent la vie. Elles plissent les yeux et fanent souvent le regard. Je n’aime pas les montres qui carrellent le temps et fatiguent les yeux de rides qui en disent long sur les chemins de traverse d’une vie. Les montres trahissent. Je préfère le maquillage. Celui qui dissimule les traces que laissent les flâneries d’une montre. Celui qui atténue et module, en les grimant, les passages du temps.<br><br>CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE<br><br>- « Un roman fait de mots, de maux, d’émotions, de successions de substantifs et d’épithètes enrobés de couleurs diverses. Peut-être ce livre doit-il être lu à voix haute pour en percevoir le maximum de plaisir tant la musique qui émane du verbe est en harmonie avec lui. Comme une avalanche, les mots se chevauchent, se suivent, se bousculent parfois, se complètent souvent, s’opposent aussi et s’entrecroisent pour mieux se transcender et ainsi, faire mieux passer les sentiments d’Ana, une femme torturée. » <b>Maurice Vandeweyer, <i>L’Avenir</i></b><br><br>- « A quarante ans Ana se remet en questions sur sa vie passée et future. Elle sent qu’elle ne peut plus vivre dans l’ombre, elle a besoin de s’affirmer telle qu’elle est avec ses rondeurs, ses imperfections et ses fragilités. Une histoire remplie d’émotions, qui touche surtout les femmes mais tout autant les hommes. » <b><i>Le Suricate Magazine</i></b><br><br>- « La musicalité de sa ligne d’écriture est une invitation. Dès le départ, le rythme est donné. Et nous voici précipités dans le monde d’Ana, dans sa vie de femme moderne et active. »<b> – <i>&nbsp;Culture Remains</i></b><b><i><br></i></b><br>A PROPOS DE L’AUTEUR<br><br>« Romancière depuis peu, poète depuis toujours, <b>Sylvie Godefroid</b> s’introduit avec humilité dans le paysage des Lettres belges, promenant une émotivité et une mélancolie dissimulées sous une faconde de bon aloi et dans les vagues d’un sourire permanent… Philippevillaine de souche, Bruxelloise d’adoption, elle voit le jour en 1973. Le “Pays Noir” tracera au fusain les détours d’une personnalité mélangée, plongée dans les lavis d’une belgitude aux couleurs vagues, éveillée aux pinceaux de l’imaginaire. Sylvie Godefroid assume pleinement une telle bâtardise qui l’apparente aux grands hivers de Jacques Brel comme au peuple des brouillards et des rêves. » (Michel Joiret)