Coopoly - Logo
Coopoly - Logo
Les peuples libres
Les peuples libres
Prix membre: 0,00$ (qu'est-ce que c'est?)
Prix régulier: 0,00$
Ce produit n'est plus en vente.
Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Éditeur:
Atria
Protection:
Filigrane
Année de parution:
2015
ISBN-13: 9782372250238
Description:
<b>Découvrez sans plus tarder la suite de cette saga fantastique !</b><br><br>« Nous sommes l'armée des peuples du Zénith... Face à leur rage de conquête, nous opposerons notre soif de liberté. »<br><br>Ehia, révélée comme la véritable Élue, est déterminée à mener à bien ce que Bertrand a mis en place. Les bases du soulèvement sont prêtes à éclore, et tous se joignent au même but commun : résister à l'Empereur mégalomane, l'empêcher de détruire la Nature et d'asservir les peuples, s'ériger enfin en peuples libres. Pour que l'utopie de paix devienne réalité, il leur faudra déployer des ressources insoupçonnées. Ehia et son dragon protecteur Argandal, Bertrand et les Enfants de l'Alliance, aidés du peuple des Nues, des Elodons, des Amazones et de bien d'autres alliés, sont prêts à relever le défi, convaincus qu'une cause juste peut faire des miracles face à la supériorité numérique de l'ennemi. Mais le combat s'avère long et difficile, et la menace des dragons noirs ainsi que de la tiare magique de l'Empereur planent sur les têtes...<br><br>Avec ce tome 3, Olivier Lagneau confirme son habilité à nous immerger dans un univers de fantasy original, humaniste et rythmé. Les Terres du Ponant sont fertiles à l'infini, et ses trésors raviront immanquablement petits et grands.<br><br><b>Olivier Lagneau signe ici le troisième tome d'un monde de fantasy que vous n'êtes pas près d'oublier !</b><br><br>À PROPOS DE L'AUTEUR<br><br>Après un carrière en tant que professeur, Olivier Lagneau s'est lancé dans l'écriture fantastique avec la saga littéraire <i>Les Terres du Ponant</i>.<br><br>EXTRAIT <br><br>Alkaïre, première ville du pays orcs...<br>Cette Cité était importante par sa forte population et surtout, elle était imposante par la présence du palais de l’Empereur. L’édifice semblait né d’un cratère. Des remparts crénelés et de longues tours fléchées s’imbriquaient les uns dans les autres de manière anarchique. Toutes les structures étaient renforcées par une série de contreforts, d’arcs-boutants, de ponts branlants qui reliaient les différents corps du palais. Si cet immeuble n’avait aucun style et les possédait tous, il était loin d’être ridicule. Il émanait de ces pierres un aspect lugubre. Toute personne obligée de s’y rendre ne pouvait empêcher qu’un frisson de peur animale ne lui parcoure l’échine. Souvent, de longues patrouilles portant des torchères fumantes circulaient très haut sur les remparts comme de longs serpents de feu se lovant tout autour d’un véritable nid de vipères. Accolée tout autour de ce bâtiment effrayant, la ville se construisait sans aucune règle. Les maisons longues et ovales ressemblaient à des cloportes s’agglutinant les uns aux autres en grappes sombres et grasses. Les ruelles étroites regorgeaient d’orcs à la mine peu avenante, d’alliés peu probables et sûrement intéressés, d’alliés de toutes races et de tous horizons. À la moindre provocation, tous étaient prêts à s’égorger. La violence régnait en maîtresse incontestée, on ne trouvait chez les habitants hargneux aucune compassion pour quiconque. Ville de garnisons, de coupe-jarrets, de trompe-la-mort et autres sabreurs, elle était tout à l’image d’un peuple avide de conquêtes sanglantes où la gloire se trouvait dans le nombre d’ennemis tués. Que peut-on espérer d’un peuple qui dès le berceau, plonge ses enfants dans l’apprentissage de la haine des autres peuples ?