L'homéopathie selon Samuel Hahnemann
Alain Perrier
Availability:
Ebook in EPUB format. Available for immediate download after we receive your order
Ebook in EPUB format. Available for immediate download after we receive your order
Publisher:
Bookelis
Bookelis
DRM:
Watermark
Watermark
Publication Year:
2021
2021
ISBN-13:
9782874341809
Description:
L'objectif de « guérir sans nuire » conseillé par Hippocrate puis par Hahnemann ne semble plus être à l'ordre du jour de la médecine officielle depuis bien longtemps.
Nous constatons d'innombrables victimes de la médecine depuis plus d'un demi-siècle, appelées par euphémisme « effets secondaires », « maladies iatrogènes » ou bien encore « maladies nosocomiales », autant d'appellations trompeuses qui donnent à croire que la cause de toutes ces maladies est soit inévitable (secondaire), soit provoquée par le médecin (iatrogène), soit par l'hôpital (nosocomiale) ; alors que la cause est bien en amont.
Et oui, toutes les observations concordent : supprimer une « maladie », entraîne très souvent la suppression de la santé (maladies chroniques) voire même trop souvent la suppression du malade (les milliers de morts annuels post-thérapeutiques en sont hélas les témoins).
Comme le disait Einstein : « On ne résout pas un problème en utilisant le même raisonnement qui l'a créé. »
Pour un homéopathe, un malade n'est pas une addition d'un corps et d'un esprit, à laquelle on pourrait soustraire l'un des deux éléments, en le niant comme Sujet. C'est une association de ces deux éléments, permanente, irréfragable, indissociable, dans laquelle l'aspect visible (le corps-Objet) et l'aspect invisible (le psychisme affectif et mental) ne sont qu'une seule et unique créature: le Sujet Humain.
Un corps ça s'ausculte, mais un esprit ça s'écoute! Une médecine sans écoute, avec dix minutes en moyenne accordée à chaque consultation (chiffre officiel) produit des diagnostics terrifiants : des maladies sans sujet, hors-sujet, pour ce qui concerne les maladies lésionnelles ; c'est-à-dire des maladies sans malades !
Et pour ce qui concerne les maladies fonctionnelles, nous avons affaire à des malades sans maladie, c'est-à-dire des malades sans aucun diagnostic établi de façon scientifique, puisque tous les examens sont normaux !
Hahnemann m'a appris à ne pas faire la guerre à la maladie avec de « munitions » de l'« arsenal thérapeutique », aux effets collatéraux déplorables.
Hahnemann m'a appris qu'il y avait un autre mode de prescription des remèdes, non pas pour déclarer la guerre à la « maladie », mais pour rétablir la paix du malade; pour stimuler l'autorégulation, c'est-à-dire l'auto guérison, sans être obligé de rajouter des « maladies » à la « maladie » initiale !
Hahnemann demandait tout simplement d'observer la totalité des symptômes (objectifs et subjectifs) pour respecter la Science, et de ne pas être nuisible, en respectant l'Éthique. C'est tout. Hahnemann demandait à ses confrères de penser et de réfléchir autrement, en associant la méthode logique rationnelle à la méthode analogique intuitive et créatrice.
Après 30 ans de pratique, je ne comprends pas la démarche des « allopathes en colère » ! Que reprochent-ils vraiment, au fait, à l'homéopathie ?
Nous constatons d'innombrables victimes de la médecine depuis plus d'un demi-siècle, appelées par euphémisme « effets secondaires », « maladies iatrogènes » ou bien encore « maladies nosocomiales », autant d'appellations trompeuses qui donnent à croire que la cause de toutes ces maladies est soit inévitable (secondaire), soit provoquée par le médecin (iatrogène), soit par l'hôpital (nosocomiale) ; alors que la cause est bien en amont.
Et oui, toutes les observations concordent : supprimer une « maladie », entraîne très souvent la suppression de la santé (maladies chroniques) voire même trop souvent la suppression du malade (les milliers de morts annuels post-thérapeutiques en sont hélas les témoins).
Comme le disait Einstein : « On ne résout pas un problème en utilisant le même raisonnement qui l'a créé. »
Pour un homéopathe, un malade n'est pas une addition d'un corps et d'un esprit, à laquelle on pourrait soustraire l'un des deux éléments, en le niant comme Sujet. C'est une association de ces deux éléments, permanente, irréfragable, indissociable, dans laquelle l'aspect visible (le corps-Objet) et l'aspect invisible (le psychisme affectif et mental) ne sont qu'une seule et unique créature: le Sujet Humain.
Un corps ça s'ausculte, mais un esprit ça s'écoute! Une médecine sans écoute, avec dix minutes en moyenne accordée à chaque consultation (chiffre officiel) produit des diagnostics terrifiants : des maladies sans sujet, hors-sujet, pour ce qui concerne les maladies lésionnelles ; c'est-à-dire des maladies sans malades !
Et pour ce qui concerne les maladies fonctionnelles, nous avons affaire à des malades sans maladie, c'est-à-dire des malades sans aucun diagnostic établi de façon scientifique, puisque tous les examens sont normaux !
Hahnemann m'a appris à ne pas faire la guerre à la maladie avec de « munitions » de l'« arsenal thérapeutique », aux effets collatéraux déplorables.
Hahnemann m'a appris qu'il y avait un autre mode de prescription des remèdes, non pas pour déclarer la guerre à la « maladie », mais pour rétablir la paix du malade; pour stimuler l'autorégulation, c'est-à-dire l'auto guérison, sans être obligé de rajouter des « maladies » à la « maladie » initiale !
Hahnemann demandait tout simplement d'observer la totalité des symptômes (objectifs et subjectifs) pour respecter la Science, et de ne pas être nuisible, en respectant l'Éthique. C'est tout. Hahnemann demandait à ses confrères de penser et de réfléchir autrement, en associant la méthode logique rationnelle à la méthode analogique intuitive et créatrice.
Après 30 ans de pratique, je ne comprends pas la démarche des « allopathes en colère » ! Que reprochent-ils vraiment, au fait, à l'homéopathie ?
Ebook Preview